vendredi 20 août 2021

Le Pays Basque ... français

 

Ce que j'ai pu rêver de visiter le Pays Basque ! Malheureusement, celui-ci est à cheval sur la France et l'Espagne ... Cet été, la région espagnole était déjà très en rouge et les mesures liberticides Covid bien en place ! Sans Pass, il n'était pas possible de passer la frontière et donc exclu d'y faire une escapade.

Nous avons dès lors dû nous contenter de la partie française qui était en orange et déjà soumise également au pass dont nous ne disposions pas. En effet, à notre départ, toute cette zone était en vert et, hormis la nécessité de réserver on line à l'avance, il n'y avait aucune restriction ! Il fallut donc trier et plus choisir pour décider les sites ... que nous pouvions visiter. De plus, la météo faisait grise mine et nous avions perdu 10°c. Cela ne présageait donc rien de mémorable !


Après notre installation dans la banlieue de St-Jean-de-Luz, nous nous sommes enquis de l'office du tourisme régional pour étoffer les lieux visitables et surtout prendre connaissance des possibilités. Cette semaine que j'avais imaginée plus prometteuse que la précédente, c'est finalement révélée bien plus triste.

La virée sur la Rhune a déjà dû être écartée : le brouillard constant sur les montagnes n'aurait permis aucune visibilité à l'horizon et les réservations - limitées - étaient très difficiles ! Qu'à cela ne tienne, il y avait bien d'autres choses à faire, du moins, je le pensais.

La corniche basque me tentait (la corniche vendéenne m'avait tellement fascinée) ! Triste déception, sur une route où il était quasi impossible de s'arrêter - parking bondé - et où il était interdit de s'approcher des falaises, la visibilité était nulle : finis les rêves de paysages grandioses ! De Ciboure à Hendaye, nous n'avons donc quasi rien vu ! Hendaye reste cependant une jolie cité proche de la frontière espagnole.

Les stations balnéaires m'ont semblées bien décevantes ! C'est joli mais assez escarpé et la circulation est similaire à celle de la Côte d'Azur : embouteillages et incivisme ! Le vrai Guéthary, qu'on m'avait vanté, n'est qu'un village; Bidart n'est pas mieux mais j'adore le style des maisons basques et c'est très photogénique ! Biarritz est absolument magnifique mais peuplée de touristes prétentieux et criards. St-Jean-de-Luz est à peine moins pompeux et j'étais finalement très heureuse d'être installée dans sa banlieue à 2 pas de la plage avec un accès direct aux falaises qui nous offraient un point de vue fabuleux ! Par contre, j'ai bien apprécié le jardin botanique de St-Jean-de-Luz et ses plantes rares ainsi que son château de l'Urtiby où l'accueil fut charmant et simple. Cette région et ses habitants sont très accueillants et gagneraient à être débarrassés des touristes (encore une raison pour laquelle je partais toujours hors saison quand je pouvais me le permettre : les gens du crus sont bien différents quand ils sont entre eux !)

Biarritz



Abandonnant la Côte, nous nous sommes dirigés vers l'arrière pays bien plus authentique. Petits villages remarquables, près des Pyrénées, pas trop envahis par les touristes hormis Espelette (tellement célèbre pour ses piments) : Ainhoa (village-rue majestueux et fleuris), Ixtassou et sa jolie église blanche, St-Pee-sur-Nivelle, Ascain et son musée de la pelote basque, Sare et son sympathique parc animalier (animaux domestiques vieillissant et/ou handicapés où ils peuvent finir paisiblement leur vie); et surtout le remarquable St-Jean-Pied-de-Port d'une beauté époustouflante, situé sur le passage du pèlerinage de Jacques de Compostelle et ville-étape où nous avons goûté aux produits du terroir pour un prix honnête. 

Ainhoa

St-Jean-Pied-de-Port

La Bastide-Clairence

Puis nous nous sommes égarés plus dans les terres : La Bastide-Clairence, village artisanal, un peu trop vanté à mon sens ... nous n'y étions sans doute pas à la meilleure période ! Terminant notre périple par la visite de Bayonne. Cette ville était noire de monde surtout dans sa partie commerciale où le quidam négligeait bien souvent le port du masque (c'est bien là que nous avons été les plus vigilants !) la cathédrale est immense et son cloître accueillait un marché artisanal des plus intéressants par sa variété et la qualité de ses produits. C'est vraiment une très belle ville aux espaces verts fleuris pour qui prenait la peine de les parcourir (il y avait nettement moins de monde). Je regrette beaucoup d'y être arrivée trop tard pour visiter le jardin exotique à flanc de remparts qui était déjà si beau de loin.


Bayonne

C'est finalement le long des côtes - hors stations balnéaires - que nous avons pu apprécié le plus la beauté encore sauvage des falaises (beaucoup de chemins interdits par "sécurité" mais plus surement pour protéger le site de l'incivisme des touristes). J'avoue que la configuration des lieux est fatigante et sportive :  escaliers, côtes et descentes ... des kilomètres pour passer d'un lieu à un autre mais cela en valait la peine. Cette région - comme le Gers, par ailleurs - est surtout prédestinée aux randonnées et promenades ! 




J'ai vraiment regretté de ne pas pouvoir me rendre sur la Côte Basque espagnole que je pressens bien plus belle que la partie française. C'est d'ailleurs sa réputation. Nous n'avons pas hésité à sacrifier un jour de vacances (et de location) pour rentrer au pays avant le weekend qualifié de noir par Bison Futé. Cela nous a permis de passer sans encombre Bordeaux bien avant les embouteillages et ce fut la même chose pour tout notre parcours; de toute façon, le pass était devenu obligatoire presque partout ! (pas étonnant quand j'ai vu la désinvolture de la masse face aux mesures anti-Covid ...)

jeudi 19 août 2021

Le Gers

 


S'il est bien une région de France que je n'avais pas envisagé de visiter, c'est bien le Gers et la banlieue de Mont-de-Marsan ! Cependant, cet été 2021, j'y ai été appelée pour quelques raisons familiales et je me suis dit : "Après tout, tant qu'à faire le voyage et remplir les conditions Covid-safe, autant y passer une partie de mes vacances -une semaine - puis descendre vers le Pays Basque bien plus attrayant !" Les conditions étaient bonnes : toute la région était en zone verte, le test PCR négatif et la météo excellente.

Je suis donc partie, avec armes et bagages, et avec l'idée préconçue que cette région n'a rien de touristique et que je serais amenée à faire beaucoup de kilomètres pour rejoindre des villes à visiter : Bordeaux, Pau, Lourdes, Toulouse, Tarbes, Auch, Montauban, Albi ... J'avais prévu mon planning en ce sens ! D'autant plus que mon gîte était situé en rase campagne !

Après un voyage sans histoire - nous avions contourné Paris-, hormis l'embouteillage à Bordeaux où nous avons passé 3h pour faire une dizaine de kilomètres (note à moi-même : éviter à tout prix les grandes villes ou les traverser dès potron-minet !), nous sommes arrivés dans notre rustique et authentique petit gite à Laujuzan. 


Le lendemain, nous nous sommes dirigés vers l'office du tourisme de Nogaro : à défaut de visite, autant se renseigner sur l'aspect gastronomique et les petits restaurants ... c'est proche du Périgord dont le terroir est très riche ! Quelle bonne idée !!! L'offre touristique - mal connue - est pourtant énorme !

Nogaro a un circuit automobile et la région, un panel de propositions qui partent dans tous les sens : Abbayes, châteaux, villes médiévales, musées, palmeraie et jardins et bien d'autres curiosités (avec mention spéciale pour l'architecture !) ... Gustativement, ils ne sont pas non plus en reste : entre foie gras et armagnac, il est possible de confectionner un repas sans devoir emprunter des mets d'autres régions françaises.

Fourcès

Lupiac

Finalement, notre semaine était vraiment insuffisante pour tout faire et tout voir ! Tri et choix était obligatoire pour tenter d'avoir un aperçu de toutes les possibilités offertes. Nous avons dû nous contenter de survoler la région en négligeant bien des sites !

Nous avons commencé par le plus évident : l'abbaye de Flaran, La Romieu (ville des chats) et ses magnifiques jardins de Coursiana, Condom (sa cathédrale, son château et les Mousquetaires du Roi) - j'ignorais que D'Artagnan était natif de cette région, plus précisément de Lupiac ! - Fourcès et Montréal-du-Gers; Toujouze et son musée du paysan gascon; la région de Vic-Fezensac avec ses villages perchés. 

Etant proche du Bassin d'Arcachon (oui, c'est relatif), nous y avons poussé une pointe : je n'avais jamais vu la dune du Pylat et je voulais aussi admirer le Cap Ferret. Une foule immense nous y attendait et bien peu portait un masque (je ne m'étonne plus des chiffres de contamination de cette région !) Honnêtement, la vue se mérite et il faut une certaine condition physique pour être capable de gravir cette dune (la plus grande d'Europe !)


Après avoir rendu les clés du gite, il était bien trop tôt pour parcourir les 400 km qui nous séparaient de St-Jean-de-Luz vers notre second gite. Nous sommes donc partis par le chemin des écoliers pour nous rendre dans la région de Lourdes. Malheureusement, en une semaine, les conditions avaient changé : météo et Covid n'étaient plus maitrisés. La grotte de Lourdes était devenue interdite aux visiteurs et le "Pass Corona" était imposé sur le site marial. Inutile donc de s'y arrêter ! Nous sommes dès lors allés voir les cascades de Cauterets jusqu'au Pont d'Espagne... et nous ne l'avons pas regretté ! 


Franchement, si vous avez l'occasion de vous y rendre, n'hésitez pas ! L'idéal est d'ailleurs d'effectuer la randonnée (en montée ou en descente) de la station de Cauterets jusqu'au Pont d'Espagne; même s'il est possible d'y monter en voiture (soit 7 km de montagne par route) : nous n'avons fatalement pas pu voir la centaine de cascades ! Une navette peut vous conduire vers les sommets (ou à l'inverse, vous redescendre dans la vallée). il faut donc prévoir une journée complète (et un bon équipement de randonneurs) pour cette ballade - il y a des étapes vous permettant éventuellement de vous restaurer - et, à partir du Pont d'Espagne, il est possible de vous rendre vers plusieurs autres sites notamment le site du lac de Gaube (à pied - +/- 1h15 - ou en télésiège, 15 min.). Attention, le parking du Pont d'Espagne est payant au prorata du temps que votre voiture est garée (€7 la journée) mais le site est pourvu de toilettes et la possibilité de vous restaurer voire loger (site non soumis au pass Corona) ! Cauterets est, par ailleurs, également une station de ski et une jolie petite ville touristique bien pourvue en magasin ! (remarque : les inondations de cet automne 2021 ont sérieusement endommagé le site et j'ignore quel en est désormais l'état.)

En fin d'après-midi et à notre grand regret, nous sommes partis vers la côte Basque mais cela fera l'objet d'un autre article.


mercredi 18 août 2021

Vacances 2021

 

Début juillet, la situation s'étant améliorée, une bonne partie de l'Europe était revenue au vert ! Enfin !

Certes, certaines obligations ont été prévues, pour permettre à la population en attente de pouvoir prendre un peu de repos, de voyager. La vaccination a permis de "protéger" plus ou moins les plus fragiles (non, le pseudo vaccin n'a pas une efficacité à 100 % et est mis à mal par de nouveaux variants); les codes couleur indiquent le niveau des contaminations, hospitalisations et le nombre de personnes en soins intensifs par pays et régions. Un "coronapass" a été instauré - à mon sens, davantage pour inciter encore plus à se faire vacciner ... y compris les jeunes dès 12 ans ! - pour faciliter les déplacements internationaux pour les personnes entièrement vaccinés (2 doses ... pour l'instant, mais on parle d'une 3ème !) ou celles ayant un certificat actant de leur rétablissement après avoir été malade (non, cela ne fonctionne pas pour les asymptomatiques qui sont invités à se faire vacciner malgré la présence d'anticorps naturels !) ou encore les personnes ayant effectués un test antigénique ou PCR et se révélant "négatif". Tout cela doit répondre à des conditions bien précises et contrôlées ... sans parler du formulaire à remplir (on line ou impression) lors de son retour au pays et donnant toutes les informations nécessaires sur : les lieux, raisons et date de la villégiature  avec vos N° de téléphone, de GSM, adresse ID et IP ... On nous promet que ces renseignements ne seront pas conservés plus d'un mois ... tout le monde sait que ce qui se trouve sur Internet, y reste ! 

Le retour doit se faire avec prudence et il est établi qu'un retour d'une région codée rouge doit être suivie de deux tests et d'une quarantaine en cas de contamination ... le code couleur peut parfaitement changer pendant vos vacances (donc les conditions requises aussi) de même que les autorisations sur place. Par exemple, le Sud de la France est passé en zone orange courant juillet et l'obligation de présenter un pass a été instaurée pour pouvoir visiter certains lieux (déjà qu'il fallait réserver les visites avant de se présenter dans les parcs d'attractions et autres activités générant une forte affluence). Inutile donc de préciser qu'il ne fallait pas rêver à des vacances "incognito" !

Ce mois d'août a vu l'émergence du variant delta confirmée et une nouvelle vague de contamination n'entrainant cependant pas (encore) un engorgement des hôpitaux ... toujours possible cependant avec la rentrée scolaire qui verra le retour de presque tous les vacanciers. Personnellement, je ne pense pas que le taux de contamination soit dû à davantage de malades qui seront hospitalisés mais bien au fait que les non-vaccinés sont tous obligés de se faire tester s'ils veulent pouvoir se déplacer (sans nécessairement avoir déclarés la maladie ni avoir aucun symptôme) !  L'an passé, seuls les malades étaient déclarés "contaminés" pour combien d'asymptomatiques (donc malades et contaminés qui s'ignorent : ce fut mon cas !) Aujourd'hui, les vaccinés ne sont plus tenus à se faire tester alors qu'ils peuvent être tout aussi porteurs ... et contaminés.

Confusément, les pays ayant le plus haut taux de vaccinés semblent avoir tendance à voir remonter leurs chiffres d'hospitalisés ... soit le virus mutant (Delta ? Epsylon ? Gamma ?) contourne le vaccin et le rend moins efficace, soit ce vaccin privilégie le variant lui résistant le plus ? Je m'interroge toujours sur l'option de vacciner que le gouvernement renforce encore (les USA préconisent de vacciner les nourrissons dès 6 mois et envisagent une 3ème - voire 4ème - dose de vaccin !) et les nouvelles restrictions imposées notamment en France et Australie alors que d'autres pays déconfinent ... Là aussi, on ignore toujours si le virus mute dans les contaminations des non-vaccinés ou si le virus varie pour échapper au vaccin lorsqu'il contamine un vacciné ? (il y a 2 écoles de pensée : le virus est un organisme vivant avec sans doute aussi un instinct de conservation !)

Il n'y a aucune uniformité pas même dans la CEE : c'est le chacun pour soi en fonction des chiffres médicaux. On assiste alors à un "exode" des populations qui se rendent en "zone libre" : je pense à ces français - réfractaires aux vaccins (à ce "vaccin-là" !) - qui ne pouvant plus se rendre dans les restaurants français sans "pass", viennent au restaurant en Belgique qui, ses chiffres étant meilleurs, n'en restreint pas l'accès. Des manifestations fleurissent dans toutes les grandes villes françaises contre le "coronapass" instauré et obligatoire pour de plus en plus d'activités ! Peu à peu, l'obligation de se faire vacciner s'instaure (en France mais on commence à en parler dans d'autres pays, dont les chiffres sont pourtant meilleurs) : pour l'instant, uniquement pour le personnel médical (qui, en cas de refus, ne percevra plus de salaire !) Il me semble pourtant que, depuis Nuremberg, on n'a pas le droit d'obliger la population à se faire injecter un produit encore en phase expérimentale ? On rend la vie de plus en plus difficile aux non-vaccinés pour qu'ils se fassent vacciner par dépit ...

La Belgique, avec ses 80% de vaccinés, n'envisage pas encore d'instaurer une obligation ... mais on commence à en parler. Nous subissons toujours une pression morale pour qu'on prenne tous la décision de se faire vacciner : on cherche à convaincre les sceptiques; on monte les pro-vaccins contre les "anti-vax" faisant l'amalgame entre les sceptiques, les réfractaires, etc ... On tend à prétendre que ceux qui refusent encore le vaccin sont moins intelligents ou égoïstes ou inciviques, etc. Plein de nouveaux mots apparaissent dans le dictionnaire : co-vidiots, antivax, co-paniqués, ...

J'observe tout cela avec le plus de distance possible, je réfléchis et me renseigne, je fais appel à mon sens critique et mon bon sens et ... je pense à cette citation : 



Je ne comprends pas : 
Pourquoi les vaccinés ont-ils peur des non-vaccinés et les accusent-ils d'être responsable des contaminations alors que le vaccin n'empêche pas la contamination ? (peut-être un peu moins : ok !)
Pourquoi les Gouvernements laissent-ils (ou peut-être les poussent-ils ?) les gens se monter l'un contre l'autre, créant ainsi un conflit latent et les prémices d'une guerre civile ... pour une maladie dont la latence est de 0,5 % ?
Pourquoi les vaccinés ne se sentent-ils pas "protégés" et reprochent-ils aux non-vaccinés de ne pas jouer le jeu de la vaccination ? Ont-ils des regrets ? Se sentent-ils finalement leurrés ?
Les Gouvernements n'ont-ils pas créé une atmosphère incitant à se vacciner en provoquant un manque de liberté ? J'en ai entendu beaucoup qui ont choisi le vaccin pour retrouver leurs libertés et, désormais, ils se sentent "grugés" car la liberté n'est pas revenue (soi-disant à cause des "réticents") ...
Pourquoi, dans les milieux mieux informés tels médical et paramédical, virologue et immunologue, y-a-t-il des divergences d'opinions ? Si la vaccination est la solution, pourquoi n'y a-t-il pas une unité dans leurs chefs pour y souscrire ?  Pourquoi certains d'entre eux sont-ils aussi réticents alors qu'ils sont au cœur du problème et assistent aux conséquences de la maladie ... chez certains ?
Pourquoi ceux qui ne sont pas adeptes de la pensée unique, ceux qui ne suivent pas le troupeau, ceux qui se posent des questions que j'estime légitimes, ceux qui utilisent leur sens critique, leur liberté de penser et d'agir, et pèsent le pour et le contre, ceux qui se renseignent à plusieurs sources d'informations et ne se contentent pas des articles de presse - qui détient la vérité ? - sont-ils cloués au pilori ?
Comme disait Coluche : "C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison !"
Pourquoi ceux qui refusent (se méfient de) CE vaccin, à ARN en cours d'expérimentation, sont-ils appelés "antivax" alors qu'ils ne refusent aucun vaccin - traditionnel - ayant fait ses preuves tels ceux contre le Tétanos, la Diphtérie, la Rubéole, la Rougeole, la Variole, etc ?
Finalement, la vraie question qui permet une réflexion n'est-elle pas : A qui profite le crime ? ce vaccin rapporte des millions aux actionnaires et les labos sont heureux d'enfin pouvoir développer cette nouvelle technologie avec autant de cobaye (depuis 1965, ils n'osaient que sur les cas désespérés) ...

Désolée, je ne suis toujours pas convaincue et ma phase d'observations est loin d'être finie !