vendredi 5 novembre 2021

Coronavirus, la suite ...

 


Le retour de vacances et la rentrée des classes n’ont pas vu le rush des contaminations escomptés par les plus optimistes des immunologues qui ont pu s’auto-congratuler des effets de la vaccination massive (et quasi imposée) de la population ; tirant eux-mêmes la conclusion que leur décision était fatalement la meilleure.

Néanmoins, en prévision de l’automne, diverses obligations liberticides ont été promulguées pour éviter la toujours possible reprise des contaminations : réserver ses entrées dans des lieux limités à 60% de ses capacités ; porter son masque dans certaines rues, les transports en commun et généralement les lieux fermés…

Suite à une petite hausse des contaminations, le Covid Safe Ticket (coronapass) a été instauré, dès le 15/10 à Bruxelles et à partir du 01/11 dans tout le pays (pour les plus de 16 ans), pour l’accès au cinéma, dans l’Horeca, les salles de sport et pour les manifestations regroupant plus de 200 personnes (en extérieur) et 50 personnes (en intérieur). Cette nouvelle obligation a la volonté – avouée – d’inciter plus encore la population à la vaccination et imposer aux derniers récalcitrants/hésitants (surtout les jeunes peu concernés par la maladie) à accepter une vaccination qui comporte, pour eux, bien plus de risques que d’avantages sous peine de se voir ostraciser (les baptêmes universitaires y étaient déjà soumis dès octobre).

La vaccination a également été rendue possible et également conseillée pour les jeunes à partir de 11 ans et celle des enfants de 5 à 11 ans le sera prochainement. Le but n'étant désormais plus d’atteindre un pourcentage raisonnable de vaccinés (70 % qui sont d’ailleurs atteint) mais d’obtenir une vaccination à 100% (je présume qu’ils envisageront pas la suite de vacciner le fœtus dans le ventre de sa mère ?)

 J’ai également appris que la plupart des influenceurs ont reçus une proposition leur demandant, moyennant finances, d’accepter de se faire vacciner devant une caméra et inclure le film sur leur blog/vlog. Beaucoup ont refusé et d’autres, vu le montant de l’offre, y ont souscrit.

 Tout cela m’interpelle de plus en plus :

Pourquoi veut-on autant inciter la population à se faire vacciner sans rendre cette vaccination obligatoire ?

Pourquoi, si cette vaccination est la solution entre toutes, faut-il se porter obligatoirement volontaire avant de se faire vacciner ?

Pourquoi fait-on taire les avis contraires et minimise-t-on les effets secondaires ?

Je veux bien admettre que le nombre de victimes d’effets secondaires est médiocre comparé au nombre de vaccinés mais, pour le malheureux sur qui cela tombe, c’est très important !

 Je regrette mais cela ne m’inspire absolument pas confiance !

J’en viens même à me dire que les médecins sont obligés d’aller dans le sens de la pensée unique et que, s’ils la refusent, ils auront des problèmes avec l’Ordre des Médecins…

J’en viens donc à me méfier de mon propre médecin de famille !

 Ma grande crainte est désormais de voir l’imposition du CST dans le milieu du travail. C’est déjà le cas au Grand-Duché de Luxembourg où les entreprises ont le droit de réclamer ce dernier à leurs employés : heureusement, beaucoup ont refusé d’entrer dans le jeu, arguant avec raison qu’il n’est pas de leur ressort d’imposer une décision que le Gouvernement refuse de prendre lui-même.

 Je regrette mais je reste toujours très mitigée sur un « vaccin » qui ne protège ni le vacciné, ni son entourage : je ne vois franchement pas la plus-value de ce « médicament »…

Honnêtement, si ce vaccin de nouvelle génération (qui ne porte à mon sens pas correctement son nom) n’a pas le même effet qu’un vaccin traditionnel ; je ne vois aucun intérêt à le faire.

Dans le cas contraire, j’aurais été la première à tendre le bras pour protéger mon voisin …

Je veux bien encore admettre le fait qu’il me protégerait des formes graves de la maladie mais, personnellement, je pense que mon système immunitaire tient la même promesse !

 Dès lors, je suis toujours non-vacciné et j’accepte de me priver de sorties et de restaurant jusqu’au jour où le bon sens reprendra ses droits (je croise les doigts pour que cela arrive !) Je ne suis pas de ces gens qui acceptent tout pour retrouver ses libertés honteusement spoliées !

Je ne crois aucunement qu’il s’agisse de solidarité ou de civisme : ces personnes veulent tout simplement avoir le droit de vivre normalement …

Moi, je n’ai aucune envie de me rendre dans des lieux où, sous prétexte de CST, je pourrai tout aussi bien être contaminée par un porteur qui s’ignore et qui ne respecte plus aucun geste barrière ! Je n’ai pas non plus envie de faire un test PCR tous les 3 jours et me faire défoncer le nez pour retrouver des libertés et rencontrer des personnes moins prudentes.

 

 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire