Cette métropole finalisa notre beau voyage au
Canada. Notre visite fut davantage conditionnée par le fait que notre avion
devait s’envoler de son aéroport plutôt que par l’attrait de cette ville
anglophone et connue pour être l’une des plus grandes du Canada ; et
également parce que notre dernière visite avant le retour vers l’Europe était
les célèbres chûtes du Niagara dont j’ai parlé précédemment.
C’est immense et, comme toutes les villes de
cette taille, sans réelle intérêt ! je ne peux d’ailleurs pas dire qu’elle
m’ait laissé un souvenir impérissable et j’y ai pris bien peu de photos.
Nous sommes cependant passé par le point
touristique obligé : la tour CN !
Nous avons accédé aux plateaux situé à 351 m et
342 m via un ascenseur ultra rapide qui me laissa une impression de fulgurance
mais c’était nécessaire d’y monter : on ne va pas à Toronto sans admirer
la vue du haut de cet édifice ! Heureusement que c’est rapide d’ailleurs,
car il n’est pas impossible d’avoir une sensation de claustrophobie tant le
minuscule habitacle est bondé … après une file d’attente assez
conséquente : il est conseillé d’arriver avant l’ouverture pour ne pas
devoir attendre trop longtemps.
En parlant de sensation, j’ai aussi eu celle
d’avoir laissé mon estomac au rez-de-chaussée car la montée est rapide.
Certes, la vue se fait à travers une épaisse
vitre si l’on ne désire par monter sur la plate forme à l’air libre (vertige
oblige) … la vue y est de toute façon obstruée par la présence de garde-fou (il
y a toujours des personnes tentées par un suicide spectaculaire …) et il fait
quand même franchement froid à cette hauteur (ce fut du moins notre cas,
il était relativement tôt et un petit vent soufflait sur la ville) !
Il existe également une vitre de sol, très
épaisse mais ultra transparente qui vous donne l’impression de marcher dans le
vide … inutile de vous préciser que je fus incapable de poser le pied dessus
et, pour un empire, je n’aurais pu m’amuser à y faire une photo de « faux
saut dans le vide » auquel s’adonnait de nombreux touristes !
Je ne saurais vous dire à quel point, je fus
heureuse de retrouver le plancher des vaches le plus rapidement possible :
la curiosité vous force parfois à faire des choses que votre sens critique
réprouve ! Force m’est de reconnaître que cette tour en jette et que son
éclairage a été bien étudié : mieux que la Tour Eiffel !
L’aéroport fut pareil à tous les aéroports du
monde mais j’ai quand même eu l’impression qu’ils sont terriblement au point au
niveau de la sécurité et le passage y était fluide. Je n’ai eu à déplorer ni
retard ni perte de bagages (tant mieux pour les souvenirs qui remplissait ma
valise … ben oui, j’avais pris une valise un peu trop grande pour mes modestes
vêtements que je n’avais de toute façon pas totalement utilisés – j’aime à
voyager léger ! – afin de ménager un espace pratique pour mes trouvailles
canadiennes … essentiellement des t-shirt sublimes qu’on ne trouve pas en
Europe !) L’avion de ligne que nous avons utilisé pour le retour est bien
plus agréable que le charter pris à l’aller : je conseille d’ailleurs une
ligne régulière, un peu plus chère mais bien plus confortable ! Ce me
semble idéal pour un vol de 9 h !
Nous sommes rentrés très fatigué de notre
périple québécois et à cela s’ajoutait le décalage horaire : évidemment,
nous avons retrouvé les heures gagnées 10 jours plus tôt et avons donc perdu
une journée … de repos !
Ceci clôture donc mon périple canadien …
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